moi! instituteur? hi!hi!!!! à palestro
J’ai fais d’autre opération de ce genre comme l’opération jumelle plusieurs autres. Mais la chance était
j’aimais beaucoup mes élèves Une fois les rangements et ma place faite, j’ai été voir les enfants tous de gentils troubadours. Nous nous sommes appréciés, ils étaient intéressés et ils ont été très bon à l’école, pas tous mais dans l’ensemble je me sentais un vrai instituteur. J’avais de bons résultats, nous faisions des jeux et ils rigolaient de bon coeur, malgré le merdier ou l’on était! Hommes, femmes, et enfants. Il y avait un adjudant pas méchant mais d’une mauvaise foi comme ce n’est pas possible, pour moi ce n’était pas un problème. Je faisais son jeu et j’étais pire que lui, il m’estimait bien je le faisais rire et comme çà avec les copains nous avions à peu prés ce que l’on voulait.
La chasse
Il m’avait montré comment faire les collets pour attraper n’importe quel oiseau, il fallait épiler trois poils de la queue d’une mule les saliver puis les tresser, en suite on faisait un noeud coulant l’autre extrémité on l’attachait à un bâton et on le plantait dans la terre, un petit bâtonnet faisant balancier sur une olive on cachait d’un côté et derrière de sorte que l’oiseau passe pour picorer l’olive et hop! Le voilà pris vivant, c’était un des passe temps de l’adjudant Francheski et moi moins.
La pêche
Quand nous en avions mare de manger leur tambouille on allait à la pèche, nous avions pas le droit mais çà! Nous partions à cent mètre du camp, nous descendions au bord de la rivière, d’un bout trois gars sur la largeur de l’oued avec chacun leur casque lourd et à vingt mètre plus loin lançait la grenade défensive celle qui fait la déflagration mais pas d’éclat et boum, les poissons remontaient, il n’y a plus qu’à à les ramasser et remplir les casques. Du poisson blanc. avec pas mal d’arêtes mais ça semblait bon, c’est nous qui l’avions péché.